Vraiment que situer d’ombre et musclés d’importance printemps de plumes dans tes mains perclues de douceur
Les veines claquent avec aisance à tous lambeaux floraux ô narines liquides mes urnes et mes respects
En creux ce sont ses armes et ses morves pour pleurer de lunes le dévêtement des falaises des lumières de marche l’oubli imposé à tout renfort de piqûres et de regards troubles
Parlez troubles pour saisir l’acier aux piquants coins de l’insultante cathédrale
Le cheval de frise dans le crâne et dans le puits vous irez loin gueules et vos peignes muscles de fer ne peuvent me réduire en petits fragments gluants et tristes
Les étoffes de tes lampes craquent et brûlent ces cartonnages ces fausses trapes puériles
Portez-vous bien statues vos sexes incompris rayonnent jaune et percent de leur durée les yeux de chair
Je suis debout les mains prudentes par tout le corps et je touche d’ongles et de rêve les filets de l’eau trouble
Le paysage change de sang et de nuées
Les bois se mouvementent pour devenir humides et le gant mouillé de la grève les langues tirées des buissons brûlants seins inventés à reculons et perdus de moelleuses empreintes
Fermer cet œil pour toujours ces volets penchants où s’attache le vertical horizon d’un regard vierge et mort
Je reconnais la peau truquée et son important triangle de bois fenêtre intermédiaire et sucrée desséchée au carrefour noir-fixe mon immobile piège béant de terre et de soutien et de part en part la venue sanglotante des cornes de la fuite.